Diplômée de Sciences Po, Sarah Witt mène depuis 2019 un travail photographique à la frontière du documentaire et de l’art. Elle utilise la photographie comme un outil de narration visuelle ancré dans l’intime, et privilégie les projets où se croisent empathie et authenticité des liens. Formée à l’argentique, aux tirages et à la chambre noire, elle accorde une attention particulière à la matérialité de l’image et à la précision du détail, pour révéler la beauté discrète de l’expérience humaine.
Dans ses projets personnels, elle aborde la photographie comme un langage familial. Sa première série La vague explore la pratique du surf et le rapport à l’océan comme autant de refuges pour sa sœur. Les fleurs de cimetière tracent le portrait de sa mère atteinte du Xeroderma Pigmentosum, une maladie génétique rare qui rend la peau extrêmement sensible à la lumière. Elle y associe en noir et blanc tirages argentiques, techniques de solarisation et documents médicaux, pour composer une œuvre entre témoignage et poésie. Le voyage occupe également une place centrale dans sa démarche. Lors d’un été passé à travailler comme hôtesse de l’air, elle commence à photographier les pays traversés et les visages croisés, initiant un rapport au territoire à la fois curieux et sensible.
Dans ses commandes régulières pour la presse (Le Monde, M le Magazine, Zadig, Libération), elle développe une approche du portrait et du reportage en accord avec ses engagements.
En 2023, elle cofonde le Collectif Phosphore, dédié à une recherche artistique autour de l’insularité en Méditerranée, où se rencontrent photographie, dessin et collage. La palette de couleurs chaudes qui traverse son portfolio traduit une douceur palpable et une tendresse sincère pour ses sujets.
Dans ses projets personnels, elle aborde la photographie comme un langage familial. Sa première série La vague explore la pratique du surf et le rapport à l’océan comme autant de refuges pour sa sœur. Les fleurs de cimetière tracent le portrait de sa mère atteinte du Xeroderma Pigmentosum, une maladie génétique rare qui rend la peau extrêmement sensible à la lumière. Elle y associe en noir et blanc tirages argentiques, techniques de solarisation et documents médicaux, pour composer une œuvre entre témoignage et poésie. Le voyage occupe également une place centrale dans sa démarche. Lors d’un été passé à travailler comme hôtesse de l’air, elle commence à photographier les pays traversés et les visages croisés, initiant un rapport au territoire à la fois curieux et sensible.
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En 2023, elle cofonde le Collectif Phosphore, dédié à une recherche artistique autour de l’insularité en Méditerranée, où se rencontrent photographie, dessin et collage. La palette de couleurs chaudes qui traverse son portfolio traduit une douceur palpable et une tendresse sincère pour ses sujets.
CONTACT
Paris / Biarritz
wittsarah.photos@gmail.com
+33 6 82 34 48 17
EXPOSITIONS
Les fleurs de cimetière
December 2024
UPP Maison des Photographes
Paris
Acquad’oro
July 2024
Galerie Triangle, Festival OFF des Rencontres d’Arles
Arles
Les fleurs de cimetière
July 2023
Galerie Triangle, Festival OFF des Rencontres d’Arles
Arles
La Vague
Juillet 2021
Galerie Poltred
Lyon
PRIX
PRIX
Fondazione di Sardegna - Lauréat 2025
Prix “FAIRE” du Pavillon de l’Arsenal - Finaliste 2024
Prix Jeunes Talents des Agents Associés - Finaliste 2023